Ce texte est une réaction à un article de Gérard Kuntz paru comme "point de vue" dans le numéro précédent de la revue et consacré à l'utilisation des probabilités conditionnelles dans l'étude de certains tests.
Il s'efforce de montrer que, notamment dans le cas de la maladie dite "de la vache folle" (qui servait de prétexte à l'article initial), la notion de "fiabilité a priori" n'est qu'une hypothèse invérifiable, qui aboutit à une interprétation et à une quantification erronées de la fiabilité d'un test.
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