Partant d'un fait d'apparence anecdotique - le refus par des enseignants de mathématiques d'un exercice conduisant à une équation différentielle - nous nous interrogeons dur les raisons de ce refus. Un examen de ce qui serait nécessaire pour rendre l'exercice incriminé acceptable nous conduit à penser qu'il y a un manque « didactique » dû au fait que la justification de la technique de modélisation est en dehors du domaine mathématique (en un sens qu'il convient de préciser). Il y a donc un travail non assumé par les mathématiciens. L'est-il par les physiciens, par les biologistes ? Ce manque peut-il être comblé dans une classe de terminale en mathématiques et si oui, à quelles conditions ? Pour mener l'étude impliquée par les questions posées nous nous servons du modèle praxéologique du didactique proposé par Y. Chevallard.
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