Ces dernières années, les recherches de l’IREM de Poitiers ont pris appui sur les travaux de Chevallard sur la théorie anthropologique du didactique, en particulier sur l'organisation des contenus à enseigner par des parcours d'étude et de recherche. Dans ses textes, plusieurs aspects nous ont amenés à nous interroger sur l’organisation de nos propres cours : Quel doit être le rôle de l’école en général ? Quelle place y prend le cours de mathématiques ? Quelles connaissances doit-il apporter pour ne pas paraître déconnecté des problèmes de la société ? Cet article met en regard des extraits des textes de Chevallard, la manière dont nous les avons assimilés au sein du groupe Lycée et les conséquences qu’ils ont eu sur la mise en œuvre des programmes dans nos classes. Au fil des années, notre recherche a évolué. Nous détaillons ici deux expériences menées en Seconde et un exemple en Première S. Ils permettent de mettre en évidence les éléments de la théorie qui sont restés la base commune de toutes nos expérimentations et ceux que nous avons plus ou moins privilégiés selon les cas.
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